jeudi 22 janvier 2009

Ascendance d'Anne Bargheon

les ascendants patronymiques d'Anne Bargheon présentés dans cet article :
Anne Bargheon (1829-1862)
Jean-Mary-Bargheon (1799-1830), vigneron
Jean Bargheon (v.1758-?), vigneron

Anne Bargheon est née le 25 juillet 1829 à Mariol. Elle est la fille de Jean-Mary Bargheon et de Magdeleine Gamet. En 1847, à l’âge de 17 ans, elle a épousé Michel Sauvage, un menuisier de Busset. Ils ont eu au moins deux enfants.
Elle est décédée le 28 février 1862, à l’âge de 32 ans.

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Jean-Mary Bargheon est né le 21 septembre 1799 à Mariol. Il est le fils de Jean Bargheon et de Marie Constant. Le 15 janvier 1827, il a épousé Magdeleine Gamet, la fille d'un cabaretier du village. Les époux étaient cousins issus de deux cousins germains (cousins au 6e degré). Ils partageaient deux arrières grands-parents : Henriette Corre et Annet Bargheon. Ils se sont installés comme vignerons à Mariol. Magdeleine tenait peut-être déjà un cabaret comme le faisait sa mère. Ils n’ont eu qu’une seule fille, Anne, en 1829.
Il est décédé le 1er janvier 1830, à l’âge de 30 ans.


Arbre : Jean-Mary Bargheon (1799-1830) n'a vraisemblablement eu qu'une seule fille. Il est décédé peu après son mariage et la naissance de cette dernière.

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Jean Bargheon est né vers 1758. Il a épousé Françoise Gamet en première noce. Le 30 octobre 1798, à environ 40 ans, il s’est remarié avec Marie Constant. Il était alors vigneron à Mariol. De son second mariage, il a eu au moins deux enfants, Jean-Mary (°1799) et Claudine (°1803).


Arbre : les descendants de Jean Bargheon (vers 1758 - ?)

Ascendance de Marie Valadier

les ascendants de Marie Valadier présentés dans cet article sont les suivants :

Marie Valadier (1851-?)
Claude Valadier (1818-?), maréchal-ferrant
Pierre Valadier (1778-1827), tisserand
Jean Valadier (v.1730-1806), tisserand
Jean Valadier (?-?), laboureur

Marie valadier est née le 15 juin 1851 au quartier de la Jonchère à Limons. Elle est la fille de Claude Valadier et de Margueritte Dumas. En 1870, elle a épousé Guillaume Sauvage à Limons. Les époux se sont ensuite installés comme cultivateurs à Mariol. Il semble qu’ils n’ont eu qu’une fille, Françoise, en 1873.

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Claude Valadier est né le 18 novembre 1818 aux Martres-d’Artière. Il est le fils de Pierre Valadier et de Françoise Croizet. A 26 ans, il est caporal dans le 52e régiment de ligne lorsqu'il épouse Marguerite Dumas, une tailleuse de robe de la commune de Limons. Il semble alors qu'il quitte les Martres-d’Artière, où il habitait jusque là avec sa mère, pour s’installer comme maréchal ferrant dans la commune de sa femme, située une vingtaine de kilomètres plus au Nord, le long de la vallée de l’Allier. La famille habite le quartier de l'église, puis celui de la Jonchère.



Arbre : les enfants de Claude Valadier et de Marguerite Dumas

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Pierre Valadier est né en 1778 vraisemblablement à Tours-sur-Meymont ou à la Chapelle-Agnon (Rethomas). Il est le fils de Jean Valadier et de Jacqueline Russias. Le 10 pluviose an VII (29 janvier 1799), il a épousé Jacqueline Cros à Tours-sur-Meymont. Les époux se sont installés au hameau de la Brousse, où vivaient aussi Simon et Jean Valadier, deux frères de Pierre. Il exerçait alors le métier de tisserand. Jeanne Cros est décédée deux ans après la naissance de leur premier fils. Il s’est alors remarié avec Françoise Croizet et s’est installé aux Martres-d’Artière, la commune de sa nouvelle épouse située à une quarantaine de kilomètres de Tours . La profession la plus souvent mentionnée sur l’état-civil pour Pierre est restée celle de tisserand (il était plus rarement qualifié de cultivateur). Les époux ont eu au moins cinq enfants entre 1807 et 1823.
Pierre est décédé aux Martres-d’Artière le 17 octobre 1827, à l’âge d’environ cinquante ans.




Arbre : les descendants de Pierre Valadier (1778-1827).
La plupart des enfants et petits-enfants de Pierre Valadier semblent être restés dans les environs des Martres-d'Artière ou de Limons. Toutefois, l'une des filles de Jacques Valadier, Marie, semble avoir émigré en Algérie avec son mari dans les années 1850. Ce couple a ensuite donné naissance à une famille de colons qui s'est établie sur plusieurs générations dans ce pays (la génénéalogie de cette branche a été publiée sur le site généanet par M.Barlet : lien

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Jean Valadier est né vers 1730 à la Chapelle-Agnon. Il est le fils de Jean Valadier et de Jeanne Monteil. A l’âge d’environ trente ans, il a épousé Jacqueline Russias à la Chapelle-Agnon. Les époux se sont installés dans cette paroisse au village de Rethomas où sont nés leurs premiers enfants. Jean y exerçait le métier de tisserand. Ils ont ensuite quitté ce lieu pour celui d’Espinasse où ils vivaient au début des années 1800. Jacqueline y est décédée en 1802.
Jean a fini sa vie au village Lasteyrias (Tours) où il est décédé à l’âge d’environ 76 ans.


Arbre : les enfants de Jean Valadier (v.1730-1806) et Jacqueline Russias (v.1742-1802)
Les enfants de Jean et Jacqueline ont tous vécu à Tours-sur-Meymont, notamment au village de la Brousse ou Pierre et Jean avaient une activité de tisserand et Simon celle de marchand. Un autre fils vivait au village du Bost et y exercait le métier de pitancier (en principe, un pitancier est le pourvoyeur des subsistances dans un communauté religieuse. Il est assez difficile de savoir à quoi celà pouvait correspondre exactement dans ce cas. Etait-il le pourvoyeur du curé du village ?). Les filles se sont elles aussi mariées à Tours, à l'exception de Claudine, décédée à l'âge de 15 ans.


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Jean Valadier est né vers 1700. En 1721, il a épousé Jeanne Monteil à Saint-Amant-Roche-Savine. Sur l’acte de mariage qui ne désigne pas ses parents, il est qualifié de laboureur. Les époux se sont installés à Saint-amant-roche-Savine ou à la Chapelle-Agnon où ils ont eu au moins sept enfants.


Arbre : les enfants de Jean Valadier et Jeanne Monteil/Montel

mercredi 21 janvier 2009

Ascendance de Françoise Sauvage

Les ascendants patronymiques de Françoise Sauvage présentés dans cet article sont les suivants :

Françoise Sauvage (1873-1945)
Guillaume Sauvage (1848-?), cultivateur.
Michel sauvage (1821-1865), menuisier.
Guillaume Sauvage (1788-1862), menuisier.
Claude Sauvage (1758-1835), menuisier.
Louis Sauvage (1713-?), maréchal-ferrrant.
Michel Sauvage (?-?), maréchal-ferrant.
François Sauvage (?-?)
Henri Sauvage (?-?)


Françoise sauvage est née le 24 août 1873 à Mariol. Elle est la fille de Guillaume Sauvage et de Marie Valadier. À 23 ans, elle a épousé Gabriel Laurut à Mariol. Les époux se sont installés dans cette commune, au domaine des Audins où ils étaient cultivateurs. Ils ont eu deux filles : Marguerite (°1898) et Marie justine (°1903). Après le décès de Gabriel Laurut, en 1912, elle s’est remariée avec Antoine Maubert. Elle est décédée à Mariol le 5 octobre 1945, à l’âge de 72 ans.


Arbre : les enfants de Françoise Sauvage (1873-1945) et Gabriel Laurut (1869-1912)


Photo : Françoise Sauvage et sa seconde fille Justine (vers 1920).

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Guillaume Eugène Sauvage est né le 26 décembre 1848 à Mariol. Il est le fils de Michel Sauvage et d’Anne Bargheon. a 22 ans, il a épousé Marie Valadier, la fille d’un maréchal-ferrand de Limons. Il est ensuite devenu cultivateur à Mariol. Il semble qu’il n’ait eu qu’une fille, Françoise, en 1873.
Il est décédé avant 1923.

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Michel Sauvage est né le 20 octobre 1821 à Busset. En 1847, il a épousé Anne Bargheon à Mariol. Ils ont eu au moins deux enfants, Guillaume (°1848) et Eugène (°1860). Comme son père et ses deux frères, il exerçait le métier de menuisier à Busset. Après le décès de sa première épouse, en 1862, il s’est remarié avec Françoise Martin, avec laquelle il a eu au moins un fils, joseph (°1863).
Il est décédé le 10 août 1865, à l’âge de 43 ans.


Arbre : les enfants de Michel Sauvage (1821-1843).

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Guillaume Sauvage est né le 3 octobre 1788 à Busset. Il est le fils de Claude Sauvage et de Magdeleine Fort. A 19 ans, il entre dans l'armée napoléonienne et participe à plusieurs campagnes. Les informations figurant sur le dossier déposé pour l'obtention de la médaille de Sainte-Hélène en 1857 (1), bien que très laconiques, permettent de reconstituer une partie de son parcours de simple soldat. De 1808 à 1814, il participe à la campagne d'Espagne, déclenchée par la volonté de Napoléon de mettre la main sur la monarchie espagnole. Aidés par les Anglais et les Portugais, les Espagnols parviennent finalement à repousser les Français. En 1814, les coalisés sont désormais en mesure de s'attaquer au territoire national et Guillaume est mobilisé pour sa défense dans une dernière campagne connue sous le nom de campagne de France. C'est probablement à l'issue de cette dernière qu'il est emprisonné pour dix mois "sur les pontons" (2).
En 1816, à l'âge de 27 ans, il est de retour à Busset où il s'installe avec sa nouvelle épouse Anne Satrin, la petite fille d'un officier du comte de Busset. Ils ont ensemble au moins quatre enfants jusqu’en 1824. Guillaume peut alors exercer son métier "civil" de menuisier, transmis par son père et qu'il transmetra à son tour à ses trois fils.
Il est décédé le 18 juin 1862, à l'âge d'environ 75 ans. Le dossier de la médaille de saint-Hélène avait, cinq ans plus tôt, dressé un tableau plutôt dramatique de sa situation en le disant "âgé, aveugle et dans la misère la plus grande"

(1) Il s'agit d'une décoration créée par Napoléon III pour honorer les militaires ayant combattu sous les drapeaux de la france dans les Grandes Armées de 1792 à 1815. Le dossier de Guillaume Sauvage se trouve aux AD03 sous la cote 1M984 (extrait ci-dessous).


(2) Prisons installées sur des navires de guerres trop anciens pour continuer la navigation. On trouvait de tels pontons en Angleterre et sur le littoral atlantique français. le dossier de Guillaume ne précise pas où a eu lieu son incarcération.


Arbre : Descendance de Guillaume Sauvage (1788-1862) sur deux générations. On peut remarquer la transmission de la profession de menuisier sur plus d'un siècle.





Documents : détails du diplôme remis aux combattants ayant reçu la médaille de Sainte-Hélène (AD03 1M984)

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Claude Sauvage est né vers 1758, vraisemblablement à Châteldon. Il est le fils de Louis Sauvage et de Jeanne Pinaud. En 1786, à l'âge de 28 ans, il a épousé Magdeleine Fort à Busset. Il s'est alors installé comme menuisier dans ce village. Les époux y ont eu au moins sept enfants entre 1787 et 1801.
Il est décédé le 16 décembre 1835, à l'âge d'environ 77 ans.


Arbre : les enfants de Claude Sauvage (v.1758-1835) et de Magdeleine Fort.

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Louis Sauvage est né à Châteldon le 6 octobre 1713. Il est le fils de Michel Sauvage et de Claudine Foucaud. À vingt ans, Il a épousé Jeanne Pinaud à Châteldon. Les époux se sont installés dans ce village où Louis était maréchal-ferrant. L'arbre présenté ci-dessous montre la partie de leur famille qui a pu être reconstituée


Arbre : les enfants de Louis Sauvage et de Jeanne Pinaud.

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À venir... :

Michel Sauvage
François Sauvage
Henri Sauvage

lundi 19 janvier 2009

Ascendance d'Hélène Raynaud

Les ascendants patronymiques d’Hélène Raynaud sont les suivants :

Hélène Raynaud (1843-?)
Gabriel Raynaud (1817-1892), maréchal-ferrant, cultivateur
Quintien Raynaud (1786-1824)
Claude Raynaud (1754- ?)
Claude Raynaud (v.1725- ?)
Gervais Raynaud (1690-1750)
Mathieu Raynaud (? - ?)

Source (pour l'ascendance à partir de Quintien Raynaud) : recherche de M. Michel Raynaud
http://www.famille-raynaud.net/genea/Michel/


Hélène Raynaud est née le 29 octobre 1843 à Mariol. Elle est la fille de Gabriel Raynaud et de Marie Gagnol. A 19 ans, elle a épousé Gabriel Sève à Mariol. Ce dernier est décédé quelques mois après le mariage et elle était veuve lorsqu'elle a accouché de leur fille Justine. Elle s'est ensuite remariée avec Jean Laurut avec qui elle a eu au moins six enfants à Mariol entre 1866 et 1882. Il semble que la famille ait d'abord habité le bourg de Mariol, puis le hameau de la Maison Blanche.


Arbre : les enfants d'Hélène Raynaud (1843-?)

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Gabriel Raynaud est né le 19 mars 1817 à Ris. il est le fils de Quintien Raynaud et d'Hélène Piotte. A 26 ans, il a épousé Marie Gagnol à Mariol où il s'est installé comme maréchal. Il a eu au moins deux filles : Hélène (°1843) et Justine (°1845) et un garçon, Gilbert (vers 1849). Après le décès de sa première épouse, il s'est remarié en 1873 avec Antoinette Gravier.
Il est décédé à Mariol en 1892, à l'âge de 74 ans.


Arbre : Les enfants de Gabriel Raynaud (1817-1892)

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